Marié, père de trois enfants, Léon Vreurick a exercé la profession de comptable dans des établissements bancaires et notamment au Congo belge. Il exploite un commerce de papeterie, de livres et de journaux. Depuis septembre 1940, il distribue des exemplaires de la presse clandestine dont La Libre Belgique et rejoint le Service de Renseignements et d’Action « Portemine » ainsi que le groupe « Zéro » et le groupe « Tulipe » (dont l’arrestation du chef avait entraîné celle d’une majorité des membres de son réseau). Il est arrêté aux motifs d’aide aux aviateurs alliés et transmission d’informations sur les aérodromes en Belgique. Incarcéré à la prison de Saint-Gilles, il est exécuté le 12 octobre 1943. (AS)
ICI HABITAIT
LEON VREURICK
NÉ 1900
RÉSISTANT
ARRÊTÉ 11.8.1942
FUSILLÉ 12.10.1943
TIR NATIONAL
Pavé posé avec la participation de 3e secondaire de Loubna Bergallou, Professeure à l’Ecole Singelijn (Place des Carabiniers, 18a), qui ont inscrit ce projet dans une problématique plus large résumée sous la forme de la question suivante : « Quelle société pour demain ? », vue dans un contexte interdisciplinaire.